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Storia di minori


Minori, dénommée "Regiana", à laquelle fut ensuite ajoutée l'épithète de "Minor" en considération de la ville voisine, appelée "Reginna Maior".
Elle fut célèbre pour son Arsenal, son chantier et ses prisons et fut élevée au statu de diocèse en 987 par le Pape Giovanni XV. Beaucoup de doges de la République d’Amalfi y séjournèrent fréquemment et certains sont enterrés dans la cathédrale.

A une certaine époque, Minori avait comme industries le blanchiment des toiles, le tannage des peaux, de grandes charcuteries, la fabrique de papier à écrire et de pâtes.... De considérables exportations de grumeaux se font presque quotidiennement depuis ces lieux non seulement vers Naples, Rome, Bologne, etc, mais beaucoup aussi pour l'Angleterre, la Hollande et les Amériques, où ils sont envoyés dans des caisses, enveloppés dans du papier.
La ville est traversée en son centre par le petit fleuve "Farinola" ou "Reginnolo", à la source duquel se trouve Ravello.
Ses origines sont communes avec celles d’Amalfi dont elle partagea la gloire et les honneurs. Mais lorsque la République fut déchut, des Minoriens se sont soulevés. De cet évènement, reste en particulier l'emprisonnement par le prince salernitain Guaimario IV, un homme retord et malveillant, détesté du peuple, du second évêque de Minori, Sergio, lequel subit la spoliation de tous ses biens.
Libéré de la captivité à prix d’or, l'évêque Sergio retrouva son siège, là où quelques années plus tard il finit placidement ses jours.
La tempête du 11 avril 1597 fut si tragique et si terrible, que toutes les murailles de la cité furent détruites. Parmi les autres calamités que la cité eut à éprouver, il y eu les pestes de 1492, 1528 et 1656, qui répandirent la consternation, la terreur et la mort. Celle de 1656 fut considérable, périrent 355 personnes, presque le tiers de la population et de tout le clergé ne resta que l'évêque Leria.

La cité donne sur une petite plage délimitée par un beau jardin public orné d'une fontaine avec des lions de la moitié du XIème siècle.

D’une tour du moyen-âge, celle dite "Tour du Paradis", il ne reste que les murs périphériques qui soient d’origine.
Le Duomo (cathédrale), dédié à San Trofimena, fut complètement refait au XIXème siècle. La basilique intérieure, restaurée, présente sur l’autel une urne d'albâtre sculptée en 1722 par Gennaro Ragozzino et contient les restes de San Trofimena.
Le long du torrent canalisé, proche de la mer, il y a la Villa romaine, construite au temps d'Auguste sur environ 2500 mètres carrés.

L'église de S. Giovanni Battista du Piezulo actuellement appelée San Giovanni Piccolo fut édifiée en 1420 par la famille Brancia d'Amalfi. Aujourd'hui l'église est incorporée dans un complexe d'habitations : elle n’est visible de l’extérieur que par une simple porte avec une petite fenêtre ovoïdale grillagée et une petite ouverture archée.
L'église de Santa Lucia fut construite au Xème siècle et fut transformée en couvent bénédictin. Déjà vers la fin du XIXème siècle l'église était partagée en deux, sans plus aucune trace du monastère.
L'église de San Gennaro possède un intérieur baroque probablement de 1754, lorsque le curé Filippo Carola restaura l'église.
Communiquant avec l'église de San Gennaro, celle de Santa Maria du Rosaire présente une décoration baroque intérieure plus riche.
Beaucoup de constructions, religieuses ou civiles, présentent sur leurs murs extérieurs une décoration polychrome en tuf, parfois de briques, dont la fonction était uniquement fantaisiste.



 

 

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